Corona virus : La justesse de la notion du terrain

97 à 98% des personnes infectées par le Coronavirus s’en sortent de “très bien” à “du mieux possible”

Merci au corona virus car il fait la démonstration de la justesse de la notion du terrain…

 

par Michel Deville

«Très bien» pour ceux qui sont porteurs du virus sans symptômes et «du mieux possible» pour ceux qui en ont subi la pneumonie et qui en ont guéri. Malheureusement pour les 2 à 3% (environs) restants, l’issue a été fatale.

Le point commun de ces 2 à 3% de malades est la faiblesse d’énergie générale due à l’âge, aux maladies ou les deux cumulés. Nous ne savons pas pour l’instant le pourcentage cumulé…

1) de ceux qui ont guéri sans l’aide d’un traitement puisque la médecine officielle n’en dispose pas pour l’instant

2) de ceux qui ne sont pas tombé malades

Ce pourcentage devrait frôler les 100% de la population totale puisque seuls les 2 à 3% des personnes contractant le virus décèdent suite à l’infection. Ce qui ramènerait le pourcentage de décès entre environs 0,01 à 0,05% de la population totale.

Lire l’article du Dr Ph.Devos: UPDATE Coronavirus : Armageddon ou Foutaise?

Vu l’absence de traitement curatif actuelle on peut déduire que, dans ce groupe, L’IMMUNITÉ A FAIT SON TRAVAIL. Ce qu’on peut traduire qu’elle sait et qu’elle en a les moyens. Donc, il est logique et intelligent, devant le vide actuel de chercher à comprendre comprendre comment elle y arrive et découvrir comment le virus réussit à faire son nid, mais surtout de l’aider en assurant son énergie de base:

 

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Coronavirus Laboratoires Bioligo

Pour survivre tous les êtres dépendent de nombreuses fonctions comme la digestion, la reproduction, le système cardiovasculaire, le système nerveux, l’immunité, etc… Toutes ces fonctions globales dépendent, pour être efficaces, d’une chaîne de très nombreuses réactions. Au niveau des métabolismes de la cellule, ces réactions catalytiques dépendent de différentes molécules (enzymes, vitamines) qui nécessitent l’action d’autres molécules et surtout d’atomes, comme les oligoéléments ionisés qui, via leurs électrons libres, catalysent, libèrent l’énergie nécessaire à l’ensemble de nos fonctions, particulièrement à l’immunité.

Les médecines alternatives en traitant le terrain cherchent prioritairement à renforcer notre énergie à l’aide de ces catalyseurs. Lors d’une baisse d’énergie globale, le système immunitaire est le premier et le plus gravement atteint. Les adeptes de ces médecines connaissent très bien l’usage des catalyseurs et autres substances naturelles nécessaires à cet effet : les vitamines, les oligo-éléments et certaines molécules phytosanitaires, comme les huiles essentielles. Dans le cas de l’évidente baisse d’énergie des personnes atteintes par le coronavirus, et en l’absence de médicaments ou de vaccin, la médecine est désarmée.

Sous couvert d’anonymat, un médecin de l’hôpital Emile-Muller à Mulhouse se désespère

«La situation est terrible, on ne sait pas quoi faire contre ce virus». On est surpris par cette épidémie, on ne pensait pas que ça serait grave à ce point». On ne sait pas quoi faire contre ce virus, on est complètement démunis. Les médecins ne peuvent que s’attaquer aux symptômes et non à la maladie elle-même, en espérant que le corps se défende seul. Leur arme? «Des cocktails» à base «d’antiviraux et d’antirétroviraux» qui servent à lutter contre le Sida ou le virus Ebola…

Tout ceci renforce notre conviction de recourir aux agents énergétiques des médecines du terrain basées sur une expérience millénaire. La polémique a commencé au 19ème siècle. Béchamp affirmait que « le microbes n’est rien mais le terrain est tout. » C’était aller contre les théories de Pasteur qui finit, tardivement, par reconnaître que Béchamp avait raison.

Les “progrès” de l’homme, ces deux derniers siècles ont, certes, donné quelques avancées importantes en ce qui concerne notre confort et notre santé, mais ont surtout engendré de nombreux dégâts. Trop souvent le progrès consiste, hélas, à réparer les dégâts d’un progrès précédant. La chimie dans tous les domaines : les ondes, l’industrie, l’alimentation, l’agriculture, la pharmacie, est le plus grand facteur de bloquage de l’activité fonctionnelle des catalyseurs.

Il est donc biologique, c’est à dire logique pour la vie, de relancer ces fonctions bloquées par l’usage d’éléments qui sont naturellement à la base de ces fonctions. Donc, capables de rétablir l’homéostasie générale. Faute d’autres moyens au stade actuel, autant le faire avec les agents qui sont les moteurs de l’action naturelle. Nous agissons ainsi dans le sens de la nature si malmenée actuellement. Rappelons que la nature a et aura toujours le dernier mots. L’homme disparaitra avant elle ou avec elle… s’il est trop tard.

Michel Deville

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