Pur'Immortelle
Gamme BIO anti-âge
Le système immunitaire souffre d’un défaut majeur : avant de pouvoir, il doit savoir se défendre. Tant qu’il n’a pas été confronté à une substance étrangère, il ne sait pas quelle tactique adopter. Pour pallier à cet inconvénient, il agit à deux niveaux : les défenses non spécifiques qui réagissent dans l’urgence en empêchant la prolifération des micro-organismes et les défenses spécifiques qui vont prendre le relais dès qu’elles seront en mesure de cibler leur action.
Son organisation est adaptée aux différentes attaques qu’elle subit. Défense directe contre l’intrus par des cellules immunitaires ou indirecte par libération de substances chimiques et de molécules d’anticorps protecteurs
Tous les éléments pénétrants ou se trouvant dans l’organisme et qui n’ont rien à y faire : antigènes, agents pathogènes, tissus et organes transplantés, nos propres cellules lorsqu’elles dégénèrent, mais aussi les toxines, les allergènes …
Les oligoéléments sont les catalyseurs des fonctions biologiques de l’organisme. Ils ne sont donc pas considérés comme corps étrangers (à l’instar des médicaments de synthèse ou autre médecine naturelle) mais intégrés pour agir et demeurer sur le site organique prévu par la nature.
Récoltée par les abeilles sur certains bourgeons d’arbres, la propolis est composée de 50 à 55% de résines et baumes, 30 à 40% de cire, 5 à 10% d’huiles essentielles, 5% de pollen, 5% de matières diverses. Il règne, dans la ruche une température élevée (entre 34-35°) et un taux d’humidité entre 50% et 70%, conditions très favorables aux bactéries. C’est pourquoi, les abeilles amalgament la propolis à de la cire pour protéger la ruche.
Connu depuis la plus haute antiquité, le rôle des huiles essentielles, au sein du règne végétal, est de le protéger des agressions du monde extérieur. Elles rendent à l’homme le même service sur trois plans.
Avec Frédéric Deville
Lieu : Nyon/ via Zoom
Durée : 1h30- 2h
Tarif : CHF 120.-