Gamme du Pere Michel
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Nous ne sommes pas seuls au monde et chacun revendique sa place. C’est particulièrement le cas pour tous les micro-organismes pathogènes, virus, bactéries, microbes et autres parasites. Ce n’est pas la guerre, c’est la vie sous toutes ses formes. Bien sûr tous les micro-organismes ne sont pas pathogènes, nous vivons cependant dans un milieu potentiellement hostile et affaiblissons nos systèmes de défense par les vicissitudes de la vie moderne.
Mais la vie est bien faite, et pour que le jeu se perpétue, il y des équipes et des règles.
S’il y a attaque, il y a nécessairement défense.
Composée de tous les éléments pénétrants ou se trouvant dans l’organisme et qui n’ont rien à y faire : antigènes, agents pathogènes, tissus et organes transplantés, nos propres cellules lorsqu’elles dégénèrent, mais aussi les toxines, les allergènes …
Composée des acteurs de l’immunité, son organisation est adaptée aux différentes attaques qu’elle subit. Elle va choisir entre une défense directe contre l’intrus par des cellules immunitaires (lymphocites, macrophages..) ou indirecte par libération de substances chimiques et de molécules d’anticorps protecteurs
Le système immunitaire souffre d’un défaut majeur : avant de pouvoir, il doit savoir se défendre.
Tant qu’il n’a pas été confronté à une substance étrangère, il ne sait pas quelle tactique adopter. Pour pallier à cet inconvénient, il agit à deux niveaux : les défenses non spécifiques qui réagissent dans l’urgence en empêchant la prolifération des micro-organismes et les défenses spécifiques qui vont prendre le relais dès qu’elles seront en mesure de cibler leur action.
Les oligoéléments sont les catalyseurs des fonctions biologiques de l’organisme. Ils ne sont donc pas considérés comme corps étrangers (à l’instar des médicaments de synthèse ou autre médecine naturelle) mais intégrés pour agir et demeurer sur le site organique prévu par la nature.
Récoltée par les abeilles sur certains bourgeons d’arbres, la propolis est composée de 50 à 55% de résines et baumes, 30 à 40% de cire, 5 à 10% d’huiles essentielles, 5% de pollen, 5% de matières diverses.
Il règne, dans la ruche une température élevée (entre 34-35°) et un taux d’humidité entre 50% et 70%, conditions très favorables aux bactéries. C’est pourquoi, les abeilles amalgament la propolis à de la cire pour protéger la ruche.
Connu depuis la plus haute antiquité, le rôle des huiles essentielles, au sein du règne végétal, est de le protéger des agressions du monde extérieur.